“First Two Pages of Frankenstein”, The National entre velours vocal et poésie

Le magnifique neuvième album de The National, “First Two Pages of Frankenstein”, fait la part belle à ce qui constitue l’identité profonde du groupe américain: une voix de velours, une orchestration parfaite et des textes empreints de poésie.

Le titre particulier de l’album “First Two Pages of Frankenstein” trouve son origine dans le passé du groupe américain. Depuis les années 2000, The National enchaîne les albums et les tournées et, comme pour tous les musiciens, le Covid stoppe net une machine qui tourne bien. La plupart des membres du groupe se consacrent alors à d’autres projets, sauf le chanteur Matt Berninger qui sombre dans une dépression sévère.

Il n’arrive plus à écrire, alors que c’est lui qui compose habituellement tous les textes du groupe, avec les contributions régulières de sa femme, Carin Besser, scénariste et écrivaine. Un jour, il tombe sur le livre “Frankenstein” de Mary Shelley, lit en diagonale les premières pages et tombe sur le mot “tranquillise” qui lui redonne l’inspiration.

Le titre particulier de l’album “First Two Pages of Frankenstein” trouve son origine dans le passé du groupe américain. Depuis les années 2000, The National enchaîne les albums et les tournées et, comme pour tous les musiciens, le Covid stoppe net une machine qui tourne bien. La plupart des membres du groupe se consacrent alors à d’autres projets, sauf le chanteur Matt Berninger qui sombre dans une dépression sévère.

Il n’arrive plus à écrire, alors que c’est lui qui compose habituellement tous les textes du groupe, avec les contributions régulières de sa femme, Carin Besser, scénariste et écrivaine. Un jour, il tombe sur le livre “Frankenstein” de Mary Shelley, lit en diagonale les premières pages et tombe sur le mot “tranquillise” qui lui redonne l’inspiration.

The National, une affaire de famille

A tous les points de vue, The National est une affaire de famille puisque le groupe se compose de deux paires de frères, les jumeaux Aaron et Bryce Dessner et Scott et Bryan Devendorf, et que le chanteur et compositeur Matt Berninger fait appel à sa femme Carin Besser pour l’aider dans l’écriture. Cette configuration nourrit la longévité du groupe qui travaille dans l’intimité, au studio Long Pond, juste à côté de la maison d’Aaron Dessner dans la campagne new-yorkaise.

D’autres musiciens y passent parfois, comme Sufjan Stevens, présent sur le titre “Once Upon A Poolside” de ce nouvel album, ou Phoebe Bridges, icône de la scène indépendante américaine, qui participe ici à deux morceaux, dont “Your Mind Is Not Your Friend”.

Le titre particulier de l’album “First Two Pages of Frankenstein” trouve son origine dans le passé du groupe américain. Depuis les années 2000, The National enchaîne les albums et les tournées et, comme pour tous les musiciens, le Covid stoppe net une machine qui tourne bien. La plupart des membres du groupe se consacrent alors à d’autres projets, sauf le chanteur Matt Berninger qui sombre dans une dépression sévère.

Il n’arrive plus à écrire, alors que c’est lui qui compose habituellement tous les textes du groupe, avec les contributions régulières de sa femme, Carin Besser, scénariste et écrivaine. Un jour, il tombe sur le livre “Frankenstein” de Mary Shelley, lit en diagonale les premières pages et tombe sur le mot “tranquillise” qui lui redonne l’inspiration.

The National, une affaire de famille

A tous les points de vue, The National est une affaire de famille puisque le groupe se compose de deux paires de frères, les jumeaux Aaron et Bryce Dessner et Scott et Bryan Devendorf, et que le chanteur et compositeur Matt Berninger fait appel à sa femme Carin Besser pour l’aider dans l’écriture. Cette configuration nourrit la longévité du groupe qui travaille dans l’intimité, au studio Long Pond, juste à côté de la maison d’Aaron Dessner dans la campagne new-yorkaise.

D’autres musiciens y passent parfois, comme Sufjan Stevens, présent sur le titre “Once Upon A Poolside” de ce nouvel album, ou Phoebe Bridges, icône de la scène indépendante américaine, qui participe ici à deux morceaux, dont “Your Mind Is Not Your Friend”.

Une grosse surprise sur ce nouvel album

L’orchestration des morceaux de The National, qui semble très simple, s’avère délicate et précise. Un travail réalisé principalement par Aaron Dessner, dont le résultat se mêle parfaitement aux textes souvent cryptiques de Matt Berninger.

The National a toujours fait partie d’une scène plutôt indépendante, loin des usines à tubes et autres machines pop scintillantes. C’est donc une grosse surprise, sur ce neuvième album, de découvrir la pop star Taylor Swift sur le titre “The Alcott”. C’est Aaron Dessner qui l’a invitée après avoir travaillé avec elle sur ses derniers albums.

THE NATIONAL – First Two Pages of Frankenstein

à écouter ici